L’Atlas historique de la Nouvelle-Aquitaine rassemble les informations relatives à l’espace qu’offre la Nouvelle-Aquitaine d’aujourd’hui. Il s’intéresse autant à l’évolution des territoires et des paysages qu’aux événements et phénomènes de tous ordres (culturels, politiques, sociaux ou économiques) intervenus dans ce cadre, de la protohistoire à nos jours. Il s’inscrit dans le mouvement général d’indexation des contenus numériques (Big Data) en lui offrant un cadre de structuration intelligent et mobilise des historiens, géographes, spécialistes du patrimoine ou environnementalistes, et pourra réclamer l’expertise d’autres spécialités, qu’elle vienne d’unités de recherche, de sociétés savantes locales ou de simples particuliers. Sa réalisation a été confiée à un consortium de sept laboratoires, mené par le Criham (universités de Poitiers et Limoges) et intégrant le Cemmc (Bordeaux), le LiensS et le Crhia (La Rochelle) ainsi que Ruralités et le CESCM (Poitiers). Développé avec l’aide de la région Nouvelle-Aquitaine pour trois ans, l’Atlas bénéficie du soutien de nombreux partenaires parmi lesquels le Grand Poitiers, l’Abbaye aux Dames de Saintes, la direction régionale de l’Inventaire, la Communauté de communes du Bassin de Marennes, le syndicat mixte de Brouage, le PCR Marais charentais, etc. Ce partenariat est appelé à largement s’élargir à travers un modèle permettant aux différents acteurs d’y contribuer et d’être parmi les premiers à bénéficier directement de ses retombées concrètes, au cœur même de leur propre domaine de rayonnement.

L’histoire d’un territoire

L’Atlas historique de la Nouvelle-Aquitaine, ce puissant outil de recherche et de documentation, rassemble les informations relatives à l’espace qu’offre la Nouvelle-Aquitaine d’aujourd’hui. Il s’intéresse autant à l’évolution des territoires et des paysages qu’aux événements et phénomènes de tous ordres (culturels, politiques, sociaux ou économiques) intervenus dans ce cadre, de la protohistoire à nos jours. Ce projet durable permet à la fois une vaste et savante agrégation des données et un accès à des ressources potentiellement illimitées ; il s’inscrit dans le mouvement général d’indexation des contenus numériques (Big Data) en lui offrant un cadre de structuration intelligent.

Des connaissances illimitées

L’Atlas historique de la Nouvelle-Aquitaine propose la mise en réseau d’équipes pratiquant tous les domaines de la recherche sur le passé grâce à une plateforme de production unique et universelle. Il mobilise des historiens, géographes, spécialistes du patrimoine, ethnologues ou environnementalistes, et pourra réclamer demain l’expertise de cent autres spécialités dans les domaines littéraires, médicaux ou techniques, qu’elle vienne d’unités de recherche, de sociétés savantes locales ou de simples particuliers. Sa réalisation a été confiée à un consortium de sept laboratoires, regroupant 52 chercheurs et ingénieurs mené par le Criham (universités de Poitiers et Limoges). Il rassemble également le Cemmc (Bordeaux), le LiensS et le Crhia (La Rochelle) ainsi que Ruralités et le CESCM (Poitiers).

Des ressources fiables et accessibles

La carte et la donnée historique sont des éléments fondamentaux d’aide à la décision. Les organismes régionaux ont besoin de se référer en permanence à des sources patrimoniales, archéologiques et historiques, aussi bien pour des documents de planification que pour la mise en œuvre de politiques de gestion des aménagements ou de prévention. Le contenu de l’Atlas historique de la Nouvelle-Aquitaine nourrit le dialogue entre collectivités et services de l’État autour de documents opposables.
Il alimente les efforts de pédagogie des élus locaux envers leurs administrés de manière à faciliter l’acceptabilité, l’appropriation voire la co-construction de politiques ou de décisions publiques de moyen à long terme.

Des informations indispensables au grand public

Indispensable dans son usage public par les collectivités, l’Atlas historique de la Nouvelle-Aquitaine est également destiné au plus grand nombre.
L’instrument scientifique se double d’un portail d’accès aux richesses du territoire sous la forme d’une application mobile de consultation, via un smartphone. L’outil manifeste ainsi sa grande souplesse et son utilité, notamment pour le tourisme, en lien avec les dispositifs de guidage interactifs faisant appel à la géolocalisation ainsi qu’à travers les différentes plateformes de réservation.

Une génération de chercheurs en humanités numériques

S’il offre un débouché au travail de générations de chercheurs, l’Atlas historique de la Nouvelle-Aquitaine est également un formidable outil de formation à la recherche telle qu’elle s’effectuera demain. Les étudiants associés à la réalisation de l’atlas acquerront des compétences techniques et des capacités à s’inscrire dans des réseaux régionaux qui promettent de belles avancées en termes de parcours professionnel. On peut parier sur les retombées économiques induites par toutes les innovations regroupées dans ce projet : la formation de ces jeunes collaborateurs induira un effet spin-off avec, à la clef, la création de multiples jeunes entreprises spécialisées dans les services au territoire.

Un modèle économique vertueux

Développé avec l’aide de la région Nouvelle-Aquitaine pour les trois années à venir, l’atlas bénéficie du soutien de nombreux partenaires parmi lesquels le Grand Poitiers, l’Abbaye aux Dames de Saintes, la direction régionale de l’Inventaire, la Communauté de communes du Bassin de Marennes, le syndicat mixte de Brouage, le PCR Marais charentais, etc. Ce partenariat est appelé à largement s’élargir à travers un modèle permettant aux différents acteurs de contribuer à la fois à l’Atlas historique de la Nouvelle-Aquitaine et d’être parmi les premiers à bénéficier directement de ses retombées concrètes, au cœur même de leur propre domaine de rayonnement.

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